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Les internautes français sont loin d’avoir renoncé à protéger leur vie privée en ligne, selon une étude.
Si les nouvelles technologies sont réellement portées par ces projets de contrôle des masses, quelle marge de manoeuvre nous reste-t-il ? Quelle responsabilité avons-nous encore face aux méandres algorithmiques ?
L’autorité de la concurrence italienne a annoncé, vendredi 12 mai, avoir infligé une amende de 3 millions d’euros à l’application de messagerie.
Alors que la surveillance des citoyens est en train de s’imposer (avez vous suivi les dernières révélations de Wikileaks ?), cela suscite un débat autour de la question : en quoi est-il gênant d’avoir de la surveillance de masse ? La réponse est simple : parce quand on se sait surveillé, on se conforme à la norme, on n’ose plus s’exprimer, penser ni agir de peur d’être jugé.
Le service « gratuit » Unroll.Me est au cœur d'une tourmente, après avoir vendu des informations issues des boites emails de ses utilisateurs. Ce cas souligne la difficulté de connaître l'utilisation concrète de nos données personnelles, anonymisées ou non, alors que la législation se renforce bientôt sur le sujet en Europe.
Les chercheurs ont téléchargé et analysé 1,3 million d’applications disponibles pour Android : 234 d’entre elles comportaient le code et la fonctionnalité de signal ultrason à laquelle Silverpush avait pourtant annoncé renoncer. A l’inverse, d’autres solutions par ultrasons étudiées par les chercheurs, Silverpush n’est pas une application que l’utilisateur télécharge sur son téléphone, mais d’une librairie – du code informatique qui peut être utilisé par d’autres applications –, ce qui explique sa présence à l’insu des utilisateurs. Certaines applications concernées ont été téléchargées plusieurs millions de fois, selon les chercheurs.
mardi 25 avril 2017
L’administration Trump a annulé une série de mesures prises sous la présidence Obama, dont un ensemble de protections de la vie privée des consommateurs américains.
Les sénateurs sont revenus jeudi 23 mars sur des règles empêchant les fournisseurs d’accès à Internet de revendre les données de navigation de leurs clients sans leur consentement.
L’agence de régulation des réseaux a interdit le jouet à la vente, et enjoint aux parents de détruire ceux que leurs enfants possèdent.
On n’en peut plus des applis ! Depuis longtemps déjà leur omniprésence est envahissante et nous en avons parlé ici et là. Comme le profit potentiel qu’elles représentent n’a pas diminué, leur harcèlement n’a fait qu’augmenter
Aujourd’hui un bref article attire notre attention sur les applications comme vecteurs d’attaques, dangereuses tant pour la vie privée que pour la vie professionnelle.
« Il n’existe aucun moyen de cesser d’être suivi en ligne. Aucun. »
La revue de presse de Jonas@framasoft, qui paraît quand il a le temps. Épisode No 2
Avec mon ami et camarade designer Jérémie, « on en a gros ». Les politiques de surveillance citoyenne grandissent dans bon nombre de pays comme la France ou les États-Unis, les entreprises du numérique qui font reposer leur économie sur le profilage de notre identité, les nombreuses dérives liées à la sécurité sans parler de l’impuissance que nous avons à essayer de combattre tout cela… il fallait qu’on en parle ! Ajoutons à cela que Jérémie et moi avons depuis bien longtemps une passion pour les cultures numériques comme l’univers cyber-punk dans la littérature, la figure du hacker au cinéma ou encore les débuts rocambolesques du phreaking, sans oublier l’actualité du chiffrement. Ça nous plait, ça nous anime, et parfois le mythe rejoint la réalité.
L'équipe de campagne de Donald Trump a travaillé avec Cambridge Analytica, une entreprise qui peut identifier le profil des utilisateurs de Facebook avec une grande précision.
La revue de presse de Jonas@framasoft, qui paraît quand il a le temps