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“I think the current version of the app is a good start, but I hope to streamline it even more in the coming days and weeks,” the Redditor behind FakeApp tells Motherboard. “Eventually, I want to improve it to the point where prospective users can simply select a video on their computer, download a neural network correlated to a certain face from a publicly available library, and swap the video with a different face with the press of one button.”
Block unwanted sites from your Google, DuckDuckGo, Startpage.com, Bing and Yahoo search results.
We're excited to launch a new browser extension and mobile app, extending DuckDuckGo's protection beyond the search box to wherever the Internet takes you.
CAR insurer Admiral last night admitted hiking premiums for drivers applying via Hotmail. The Sun asked about policies using identical details but different mail accounts. Enquiries via Hotmail saw…
Admiral car insurance has been accused of putting up premiums for people with Hotmail addresses, claiming that they are more likely to crash. It would be relatively easy for Hotmail users to get their premiums back down again by changing to a more respectable Gmail address, but unfortunately none of them will be able to, because they don’t know how to use the internet.
Billionaire warns of ‘far-reaching adverse consequences’ for democracy and says social media companies’ ‘days are numbered’
From the speech transcript [ https://news.ycombinator.com/item?id=16237684 ]:
“Social media companies deceive their users by manipulating their attention and directing it towards their own commercial purposes. They deliberately engineer addiction to the services they provide. This can be very harmful, particularly for adolescents. There is a similarity between internet platforms and gambling companies.”
A l’heure du big data et de l’intelligence artificielle, les données personnelles sont devenues l’or noir du XXIe siècle. Ceux qui les exploitent, à commencer par les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) en retirent des revenus considérables (4,7 milliards de dollars, soit 3,6 milliards d’euros au dernier trimestre pour Facebook, 6,7 milliards pour Alphabet, la maison-mère de Google). Ceux qui les fournissent, c’est-à-dire chacun de nous, n’en tirent aucun profit. C’est en partant de ce constat que le think tank libéral Génération libre propose dans un rapport publié jeudi 25 janvier d’inverser le rapport de force en permettant aux citoyens de vendre leurs données personnelles.
Pour s’infiltrer dans les téléphones de leurs cibles, les hackeurs ont créé au moins onze clones vérolés d’applications de discussion, comme Telegram, WhatsApp ou Signal, en y insérant un logiciel de surveillance surnommé Pallas. Ces applications ressemblent en tout point aux originales, remplissent la même fonction, mais envoient les contacts, messages et autres données à un serveur contrôlé par les hackers.
Ces applications n’étaient pas proposées dans les boutiques officielles, mais dans d’autres sites habillés d’une manière à avoir l’air légitimes. Afin d’infecter leurs cibles, les espions ont essentiellement recouru à des techniques dites d’« hameçonnage » pour attirer leurs victimes vers ces fausses boutiques d’applications ou leur faire ouvrir, par exemple, des documents Word piégés. Outre ces techniques exécutées à distance, les chercheurs notent que les espions à l’origine de Dark Caracal ont parfois accédé physiquement aux appareils de certaines de leurs cibles.
Les données dérobées sur les téléphones incluent des enregistrements audio de conversations téléphoniques, des SMS, les journaux d’appels, les contenus de logiciels de messageries, les contacts ainsi que des photographies. A partir des ordinateurs, les pirates ont subtilisé des historiques de conversations sur le logiciel Skype, des dossiers photos dans leur intégralité, des listes de tous les fichiers présents sur la machine, et pouvaient même réaliser des captures d’écran à intervalles réguliers.
Pour s’infiltrer dans les téléphones de leurs cibles, les hackeurs ont créé au moins onze clones vérolés d’applications de discussion, comme Telegram, WhatsApp ou Signal, en y insérant un logiciel de surveillance surnommé Pallas. Ces applications ressemblent en tout point aux originales, remplissent la même fonction, mais envoient les contacts, messages et autres données à un serveur contrôlé par les hackers.
Ces applications n’étaient pas proposées dans les boutiques officielles, mais dans d’autres sites habillés d’une manière à avoir l’air légitimes. Afin d’infecter leurs cibles, les espions ont essentiellement recouru à des techniques dites d’« hameçonnage » pour attirer leurs victimes vers ces fausses boutiques d’applications ou leur faire ouvrir, par exemple, des documents Word piégés. Outre ces techniques exécutées à distance, les chercheurs notent que les espions à l’origine de Dark Caracal ont parfois accédé physiquement aux appareils de certaines de leurs cibles.
Les données dérobées sur les téléphones incluent des enregistrements audio de conversations téléphoniques, des SMS, les journaux d’appels, les contenus de logiciels de messageries, les contacts ainsi que des photographies. A partir des ordinateurs, les pirates ont subtilisé des historiques de conversations sur le logiciel Skype, des dossiers photos dans leur intégralité, des listes de tous les fichiers présents sur la machine, et pouvaient même réaliser des captures d’écran à intervalles réguliers.
« Devenus des monopoles de plus en plus puissants, Facebook et Google sont des obstacles à l'innovation, et ils ont causé une série de problèmes dont nous commençons tout juste à prendre conscience » considère encore l’investisseur.
« Ils prétendent qu'ils ne font que diffuser des informations, mais le fait qu'ils soient des distributeurs quasi-monopolistiques en fait des services publics et les soumet à des réglementations plus strictes visant à préserver la concurrence, l'innovation et un accès universel ouvert et équitable » déclare-t-il dans son discours.
Les commentaires surviennent dans un contexte de critiques selon lesquelles la Silicon Valley devrait être tenue responsable de l'influence que la Russie a pu exercer en utilisant ses plateformes respectives lors de l'élection présidentielle américaine de 2016.
Facebook a reconnu qu'environ 126 millions d'Américains ont été exposés à du contenu promu par la Russie sur Facebook pendant l'élection. Les agents russes ont également dépensé des dizaines de milliers de dollars en publicités sur YouTube, Gmail et Google.
Soros a en outre accusé les entreprises technologiques d'être tentées de « se compromettre » pour entrer sur le marché chinois, où elles ont longtemps été interdites.
« Il pourrait y avoir une alliance entre les États autoritaires et ces grands monopoles IT riches de données qui allieraient des systèmes naissants de surveillance privés à un système déjà développé de surveillance par l'État » a prévenu Soros. « Cela pourrait bien aboutir à un réseau de contrôle totalitaire que Aldous Huxley ou George Orwell n'auraient même pas imaginé. »
Selon un chercheur israélien, l’application de rencontre Tinder souffre de plusieurs défauts de design qui permettent à un attaquant d’intercepter les données liées à un compte utilisateur. Celle-ci permet ainsi de voir l’ensemble des photos d’un utilisateur ainsi que ses swipes.
Similar to Uber's "God View" scandal, Lyft staffers have been abusing customer insight software to view the personal contact info and ride history of the..
Developers of platforms such as Facebook have admitted that they were designed to be addictive. Should we be following the executives’ example and going cold turkey – and is it even possible for mere mortals?
Researchers at Checkmarx decided to measure how securely Tinder handles all those images it sends you. Answer: not so much.