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‘Being Patriotic,’ a Facebook group uncovered by The Daily Beast, is the first evidence of suspected Russian provocateurs explicitly mobilizing Trump supporters in real life.
Today’s disclosure reveals the extent to which Russia’s propaganda was allowed to spread over the platform. The Internet Research Agency is believed to have paid Facebook $100,000 to promote the ads, simply by going through Facebook’s normal ad-placement tools, which are open to anyone.
Et leur domination s'accentue
Le milliardaire prédit une prise de conscience
The ACLU of California has obtained records showing that Twitter, Facebook, and Instagram provided user data access to Geofeedia, a developer of a social media monitoring product that we have seen marketed to law enforcement as a tool to monitor activists and protesters.
The sad truth is that Facebook and Google have behaved irresponsibly in the pursuit of massive profits. And this has come at a cost to our health
Billionaire warns of ‘far-reaching adverse consequences’ for democracy and says social media companies’ ‘days are numbered’
From the speech transcript [ https://news.ycombinator.com/item?id=16237684 ]:
“Social media companies deceive their users by manipulating their attention and directing it towards their own commercial purposes. They deliberately engineer addiction to the services they provide. This can be very harmful, particularly for adolescents. There is a similarity between internet platforms and gambling companies.”
« Devenus des monopoles de plus en plus puissants, Facebook et Google sont des obstacles à l'innovation, et ils ont causé une série de problèmes dont nous commençons tout juste à prendre conscience » considère encore l’investisseur.
« Ils prétendent qu'ils ne font que diffuser des informations, mais le fait qu'ils soient des distributeurs quasi-monopolistiques en fait des services publics et les soumet à des réglementations plus strictes visant à préserver la concurrence, l'innovation et un accès universel ouvert et équitable » déclare-t-il dans son discours.
Les commentaires surviennent dans un contexte de critiques selon lesquelles la Silicon Valley devrait être tenue responsable de l'influence que la Russie a pu exercer en utilisant ses plateformes respectives lors de l'élection présidentielle américaine de 2016.
Facebook a reconnu qu'environ 126 millions d'Américains ont été exposés à du contenu promu par la Russie sur Facebook pendant l'élection. Les agents russes ont également dépensé des dizaines de milliers de dollars en publicités sur YouTube, Gmail et Google.
Soros a en outre accusé les entreprises technologiques d'être tentées de « se compromettre » pour entrer sur le marché chinois, où elles ont longtemps été interdites.
« Il pourrait y avoir une alliance entre les États autoritaires et ces grands monopoles IT riches de données qui allieraient des systèmes naissants de surveillance privés à un système déjà développé de surveillance par l'État » a prévenu Soros. « Cela pourrait bien aboutir à un réseau de contrôle totalitaire que Aldous Huxley ou George Orwell n'auraient même pas imaginé. »
Developers of platforms such as Facebook have admitted that they were designed to be addictive. Should we be following the executives’ example and going cold turkey – and is it even possible for mere mortals?
Le dernier des trois billets de blog publiés est signé Cass R. Sunstein, professeur à la Harvard Law School. Tout en trouvant beaucoup à aimer dans les réseaux sociaux, il considère que des lieux comme Facebook peuvent nuire à la démocratie en créant un environnement qui favorise la division et la polarisation.
« Au mieux, c'est un problème. Au pire, c'est dangereux » juge-t-il.
Le message : Les réseaux sociaux peuvent être véritablement bons pour la démocratie - s'ils fonctionnent correctement.
Chakrabarti reconnaît que sur une période de deux ans englobant les élections de 2016, des entités russes ont créé 80.000 publications qui ont touché environ 126 millions de personnes aux États-Unis, « utilisant essentiellement les réseaux sociaux comme arme d'information ».
Today, Facebook AI Research (FAIR) open sourced Detectron — our state-of-the-art platform for object detection research. The Detectron project was started in July 2016 with the goal of creating a fast and flexible object detection system built on Caffe2, which was then in early alpha development. Over the last year and a half, the codebase…
The social network announced in August that it would begin sharing data from its 1 billion-plus user base, including phone numbers, from WhatsApp users with Facebook for the purpose of targeted ads. It gave users the option of opting out of the data being used for advertising purposes, but did not allow them to opt out of the data sharing between WhatsApp and Facebook.
The phone number associated with a user’s WhatsApp account will be used on Facebook to show them ads. This will form part of the targeting the company allows for paying advertisers, who can upload contact databases. Those who use Facebook and are in the contact database uploaded by the advertiser will then be shown the targeted ads.
The information will also be used to show how people interact with a specific ad, but Facebook said that it would not tell advertisers who specifically interacted with the ad.
TF1, Le Figaro, Le Parisien, Le Monde... Depuis 2016, Facebook verse des millions d’euros à plusieurs grands médias français pour produire des contenus vidéo sur son réseau social. Une pratique qui pose la question de la dépendance des rédactions et ouvre la voie à un système à deux vitesses pénalisant les « petits médias ».
My new year’s resolution was to give up on reading Twitter and Facebook.