Une alternative à Twitter, libre et décentralisée, est en train de connaître un succès aussi spontané que jubilatoire…

Researchers have found a way to connect the dots between people’s private online activity and their Twitter accounts—even for people who have never tweeted.

Tweets metadata scraper & activity analyzer

"As any other social media website Twitter know a lot of things about you, thanks [to] metadata," a French security researcher known as X0rz wrote in a recent blog post. "Indeed, for a 140 characters message you will get A LOT of metadata—more than 20 times the size of the initial content you typed in! And guess what? Almost all of this metadata is accessible through the open Twitter API." To demonstrate that, X0rz wrote a Python script called tweets_analyzer, a command-line tool to tap into some of Twitter's vast metadata that may not be accessible from the standard client.

The largest network ties together more than 350,000 accounts and further work suggests others may be even bigger.

Quelques exemples sont donnés, les voici. Tout d’abord, nous avons la société LendUp, spécialisée dans le prêt en ligne. Celle-ci examine les comptes Twitter et Facebook des demandeurs de prêt. Elle regarde notamment le nombre d’amis de ces personnes et leurs interactions avec ceux-ci. Cela lui sert à prendre sa décision si oui ou non, vous êtes jugé recevable. Mais il y a pire ! L’entreprise Lenddo, société qui prête de l’argent aux pays en voie de développement, fait encore mieux. Elle scrute vos contacts sur Facebook. Si parmi eux, elle détecte un mauvais payeur à qui elles ont déjà eu affaire, vous êtes directement considéré comme non recevable.

Le partenariat conclu entre le FBI et l'entreprise Dataminr permet à l'agence gouvernementale d'accéder, en temps réel, aux 500 millions de messages postés quotidiennement sur Twitter.