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The Google, Apple and Facebook workers who helped make technology so addictive are disconnecting themselves from the internet. Paul Lewis reports on the Silicon Valley refuseniks who worry the race for human attention has created a world of perpetual distraction that could ultimately end in disaster
Pour contrer les pratiques d'optimisation fiscale des GAFAM, trois initiatives européennes pour adapter la fiscalité du numérique.
The founder of a nonprofit aimed at stopping tech companies from “hijacking our minds” says internet users must reclaim their humanity.
L’école s’ouvre aux outils numériques proposés par Google, Apple, Facebook, Amazon ou Microsoft (Gafam), malgré des risques quant à l’utilisation des données scolaires des élèves.
A Stigler Center panel explores the implications of big data for competition policy and for consumer welfare. The business model at the heart of the digital economy is a simple one: Internet giants such as Google and Facebook provide consumers with “free” services—free email, free GPS, free instant messaging, free search—and in return consumers consent to hand over vast amounts of their own data, which the companies then use to target advertisers. This exchange helped make data the “new” oil, creating “new infrastructure, new businesses, new monopolies, new politics and—crucially—new economics,” according to The Economist. To a large degree, …
Now similar concerns are being raised by the giants that deal in data, the oil of the digital era. These titans—Alphabet (Google’s parent company), Amazon, Apple, Facebook and Microsoft—look unstoppable. They are the five most valuable listed firms in the world. Their profits are surging: they collectively racked up over $25bn in net profit in the first quarter of 2017. Amazon captures half of all dollars spent online in America. Google and Facebook accounted for almost all the revenue growth in digital advertising in America last year.
Quelques startups autrefois ‘sympathiques’ ont donné naissance à des multinationales oligopolistiques qui régissent le cœur informationnel de nos sociétés au point qu’un acronyme, GAFAM, leur soit dédié. Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft sont les produits emblématiques d’un ordre capitaliste nouveau qu’ils contribuent eux mêmes à forger, légitimer et renforcer. Cet ordre néolibéral s’inscrit résolument contre le projet originel de l’internet. La conférence s’intéressera précisément aux conditions qui ont permis l’émergence de cet oligopole et aux stratégies que celui-ci met en œuvre pour contrôler nos outils de communication quotidiens et les plateformes qui nous utilisons pour accéder à l’information et aux contenus en ligne (exploitation du travail, évitement de l’impôt, concentration horizontale et verticale, infomédiation, exploitation des données personnelles etc.).
Cet ouvrage analyse le déroulement du processus de marchandisation permettant aux logiques financières de pénétrer le champ de l'informatique connectée ainsi qu'Internet. Il aborde les stratégies des GAFAM pour éviter l'impôt, utiliser la valeur produite en ligne par les utilisateurs et exploiter les données récoltées.
L'expression « géants du Web » est largement utilisée par la presse pour qualifier les grands acteurs d'Internet. On peut également rencontrer dans les médias l'expression « géants du numérique ». On entend souvent par là des structures qui prennent la forme d'entreprises (et qui se distinguent donc par leur présence en tête du classement mondial du chiffre d'affaires dans le secteur informatique) et qui ont su se construire les plus grosses bases utilisateurs du monde. On retrouve derrière cette expression des sociétés comme : Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft, Yahoo, Twitter, LinkedIn et d'autres. Les actuels géants sont ainsi américains et surnommés GAFA ou GAFAM, acronyme constitué des géants les plus connus (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) ; ou encore chinois et surnommés BATX pour Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi.
Comment faire payer plus d'impôts aux géants du Web ? Le rapport sur la fiscalité de l'économie numérique proposerait comme base taxable la ressource essentielle que constituent les données personnelles.
Le chercheur Antonio Casilli explique comment, derrière des services en apparence gratuits, Facebook, Amazon, Google… ont créé une « économie du clic ».
Il y a toute une série de compléments ou d’alternatives : certains ajoutent le M de Microsoft pour faire GAFAM (mais ça ne règle presque rien). A aussi été créé un autre acronyme « NATU » (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber). Mais pour être juste, il faudrait ajouter un autre acronyme, “BATX”, qui désigne les grandes entreprises chinoises, Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi. Et comme on a oublié, il faudrait ajouter le S de Samsung. Ce qui donnerait par exemple GAFAMSNATUBATX.
Elles ont nos données ; « elles », ce sont les grandes entreprises du Web : Google, Facebook, Yahoo!, Amazon… et les moins grandes, toutes aussi agressives dans l’entreprise de captation de données. Nous échangeons des messages avec un ami sur des vacances hypothétiques en Crète, et nous voilà inondés de pubs pour des hôtels, des transports… pour la Crète. Certaines viennent manifestement d’une analyse des emails échangés, mais les autres ? Comment sont-ils au courant ?