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Paperwork est un programme de gestion de documents personnels (papiers et PDF) conçu par un flemmard pour les flemmards. Il s’agit d’une interface graphique conçue avec une idée en tête : « scan & forget » (« numériser et puis voilà fini »). Lire, trier et indexer les papiers est un travail de machine, pas d’humain.
L'une des surprises de ce comparatif vient de Firefox qui a retrouvé ses galons de la grande époque. Même s'il n'est pas toujours le plus rapide, il joue désormais dans la cour des navigateurs puissants et ultra-modernes. Difficile, aujourd'hui, de prétendre que l'un est véritablement meilleur que l'autre, mais Firefox a toutefois notre préférence pour sa politique de protection des données des utilisateurs.
La directrice des systèmes d’information de la Ville tient dans ses mains le deuxième label numérique libre obtenu en deux ans. « On a été des précurseurs en matière de numérique dans le département. Nous avons obtenu une note de trois sur cinq pour ce label. »
Depuis février 2014, la région, à l'époque Rhône-Alpes, investissait dans les logiciels libres et s'engageait à les utiliser davantage. Aujourd'hui, c'est le département du Rhône qui a reçu le label "Territoire numérique libre" niveau 3. Le label est gradué à cinq niveaux. Le but , favoriser l’utilisation des logiciels libres, les promouvoir, encourager la mise à disposition des données publiques et faciliter les échanges grâce à l'utilisation de formats ouverts.
Les logiciels produits par les administrations publiques devront dorénavant obligatoirement être publiés par défaut en Open Source
Dans les nouveautés majeures, on trouve la prise en charge de Windows (introduite dans une section « Hell Froze Over », « l'enfer a gelé » dans les notes de sorties officielles !), un nouveau module « suppression de la brume », et un nouveau mode « filtre laplacien local » dans « contraste local » qui permet non-seulement de jouer sur le contraste local mais aussi de traiter les ombres et lumières avec un rendu très propre et sans halos.
Pour l'activer il faut stopper de le comparer à du logiciel "acheté" sur le marché. C'est devenu autre chose. L'open source peut être vu comme une plateforme et un démarche, ouvertes et collaboratives d'open innovation. Toute stratégie SI de transformation devrait se demander comment l'exploiter.
Après examen de sa candidature par un jury spécialisé, le conseil départemental du Rhône a été récompensé par un label « Territoire numérique libre » de niveau 3. Ce résultat valorise un usage avancé des logiciels libres et formats ouverts, ainsi qu'une volonté d'implication dans l'écosystème libre. Le Département du Rhône entre ainsi directement au niveau 3 sur 5 de ce label accordé jusqu'à présent à une trentaine de collectivités qui investissent le champs du logiciel « open source ».
Rappelez-vous, en juillet 2014 on découvrait un article, dans le n° 84 de Linux Pratique, qui relatait l’expérience de cette commune quant au déploiement progressif de Linux au sein de la Mairie et de ses bâtiments communaux.
Cette petite ville d’un peu moins de 5000 habitants est située dans le canton de Béthune (Pas de Calais) tout en haut de la carte de France et, depuis des années, Yann Lagadec (le responsable informatique de la Mairie) et son équipe ne ménagent pas leurs efforts pour prouver qu’il existe des alternatives à un « tout Microsoft » et que cela fait du bien à sa ville et à ses administrés !
Association La LibreRie solidaire : accompagnement et ressources en informatique et internets Libres
Pour développer cette visibilité et accompagner les entreprises dans leur mutation vers le libre, la CCI Hérault a déployé deux outils, l'annuaire des prestataires internet du territoire, et le guide des logiciels du libre, en partenariat avec la CCI de l'Oise.
"Sur les 63 agences référencées dans l'annuaire, 70 % accompagnent déjà les clients vers des solutions basées sur du logiciel libre : Wordpress et Prestashop, détaille Jean-Christophe Poncet, conseiller expert IT et numérique à la CCI Hérault. On croit que le libre est peu répandu, mais il représente 85 à 90 % des serveurs web. Ce sont des solutions sécurisées et capables de distribuer des quantités de datas. Notre difficulté est d'identifier des prestataires capables d'accompagner nos TPE-PME dans leur transition."
Avec l’association Ploss-RA il prêche leur bonne parole du logiciel libre. Notamment auprès des administrations. Et ce n’est pas toujours évident.
Elle fera modèle chez les partisans du logiciel libre. Le ministère de l'économie numérique a publié au Journal Officiel de l'Assemblée Nationale une réponse à un député, qui fait office de parfait plaidoyer pour le logiciel libre et les nombreux avantages qu'il procure.