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Résumé : 39-02-04 Pour l'application du IV de l'article 6 du code des marchés publics, il y a lieu, s'agissant des marchés de services, d'examiner si la spécification technique a ou non pour effet de favoriser ou d'éliminer certains opérateurs économiques puis, dans l'hypothèse seulement d'une telle atteinte à la concurrence, si cette spécification est justifiée par l'objet du marché ou, si tel n'est pas le cas, si une description suffisamment précise et intelligible de l'objet du marché n'est pas possible sans elle.... ...En l'espèce, les prestations faisant l'objet du marché de services consistaient en l'intégration et l'adaptation aux besoins de la collectivité d'une solution logicielle qui, eu égard à son caractère de logiciel libre, était librement et gratuitement accessible et modifiable par l'ensemble des entreprises spécialisées qui étaient ainsi toutes à même de l'adapter aux besoins de la collectivité et de présenter une offre indiquant les modalités de cette adaptation. La spécification par les documents de la consultation d'un logiciel libre ne confère pas d'avantage concurrentiel à une société co-conceptrice et copropriétaire de ce logiciel, alors que toute entreprise spécialisée dans l'installation de logiciels de ce type avait la capacité d'adapter ce logiciel aux besoins spécifiés.
Après un peu moins d'un an de développement, la nouvelle version stable de Libertempo, alias Ceres, est enfin disponible. En tant que version majeure, elle apporte nombre d'améliorations et de nouvelles fonctionnalités dont une très attendue par beaucoup de nos utilisateurs : la gestion des heures. Elle permet de soumettre à la validation des heures additionnelles ou de repos. Mais ce n'est pas la seule nouveauté qu'apporte Ceres !
Avec cela, nous avons intégré un nouveau gestionnaire de planning, plus élaboré que l’ancien, il permet de définir les horaires de travail des employés. Le calendrier a aussi été revu pour intégrer les heures, mais il sera revu à nouveau afin de répondre aux demandes de nos testeurs…
Des utilitaires pour flasher des clés USB il y'en a des tonnes. Etcher en est un, un programme Open source pour Windows, Linux et MacOS destiné à cet usage.
Parcequ’ils sont le support indissociable des connaissances techniques et scientifiques de l’humanité tout entière et que nous ne pouvons pas prendre le risque de les perdre, les logiciels doivent être collectés et préservés. Nous avons fait le choix de les sauvegarder tous sous leur forme fondamentale : leur code source.
Les logiciels open source séduisent les administrations publiques en Europe. Selon une étude menée par l’Université de Maastricht, 49% des collectivités régionales ou locales interrogées (*) ont installé des logiciels libres.
Il faut ajouter à ce chiffre les 29% d’administrations qui utilisent de telles applications, sans apparemment connaître leur nature. Dans ce cas, les personnes interrogées ont répondu que leurs services utilisaient bien des logiciels GNU/Linux, MySQL ou encore Apache, mais sans savoir qu’il s’agit de logiciels libres.
Jusqu’à présent, les collectivités et les administrations françaises utilisaient en grande majorité des outils Microsoft, notamment Office et Sharepoint. Aujourd’hui, dans un souci d’économie et d’efficacité, elles sont sont invitées à passer à l’open source.
Le logiciel propriétaire existe depuis longtemps, si longtemps que pour la plupart des gens, on a l'impression qu'il a toujours été là, et que c'est la manière "normale" de faire du logiciel. C'est faux.
Titre : Le Logiciel Libre
Intervenant : Bruno Beaufils, maître de conférence en informatique
Lieu : Université de Lille 1, Les Déjeuners technologiques
Date : Février 2014
Durée : 1 h 01 min
Ce site web a pour vocation de promouvoir les formats et les logiciels libres, notamment au sein de la rubrique « GNU Logiciels » où sont présentés la FSF, le projet GNU et plusieurs programmes significatifs, accompagnés parfois de certains rudiments ou manuels en français propres à leur bonne utilisation et une facile prise en main.
Linux et le logiciel open source dirigent désormais le monde et cela signifie que nous devons travailler plus fort que jamais pour s'assurer qu'il soit fiable.
L'Etat a depuis 2012 avec la circulaire Ayrault et tout dernièrement avec la promulgation de la loi Lemaire sur le Numérique mis une priorité à l'usage de l'Open Source et des logiciels libres afin de garantir l'indépendance et la pérennité de son IT. Déjà utilisateurs de solutions Open Source depuis plusieurs années, les grands groupes privés ne sont pas en reste et connaissent depuis deux ans environ une notable accélération sur ce sujet.
Thierry Bedoin : Écoutez, les logiciels libres c’est vraiment très important. D’abord il faut peut-être souligner qu’à la Banque de France nous avons un système d’information qui est particulièrement large, ouvert, mais aussi très critique. Et en fait, nous utilisons déjà beaucoup de logiciels open source dans l’ensemble des pans de notre exploitation informatique, que ça soit sur nos serveurs, dans nos applications, même dans les bases de données. Notamment, nous avons en propre deux datacenters qui sont à l’état de l’art de la technologie avec une grosse capacité de calcul. Pour nous, l’open source, c’est à la fois une question, bien sûr, de maîtrise de notre système d’information, d’ouverture de ce système d’information, mais aussi une clef de l’innovation.
Le secteur public a été parmi les plus réceptifs, parfois enthousiaste, dans l'adoption des logiciels libres. Mais le code des marchés publics est complexe et contraignant, et certaines questions manquaient de jurisprudence. Revenons un peu sur l'état des lieux.