6 private links
L’étude des différentes stratégies de communication des géants du web montre comment ils s’adaptent et tirent profit, chacun différement, du confinement qui touche désormais un milliard d’humains.
Télétravail, relations sociales ou actes citoyens: il est impossible d’échapper aux solutions proposées par les grands acteurs technologiques américains. En temps de crise, cela peut se révéler dangereux
Les applications et les services gratuits collectent beaucoup d’informations sur leurs utilisateurs, même lorsqu’ils ne sont pas connectés
En 2018, le budget de lobbying aux Etats-Unis de Google, Amazon et Facebook a augmenté de 13%. Depuis 2013, les montants ont évolué de 69% pour l'ensemble des géants de la tech, Microsoft et Apple compris.
Four companies dominate our daily lives unlike any other in human history. The only logical conclusion? We must bust up big tech.
Depuis l'entrée en vigueur de la nouvelle législation européenne en matière de protection des données personnelles, les plaintes contre les Gafam s’accumulent. [...]
Peut-on travailler sans utiliser des outils et des plateformes des poids lourds américains ? L’État répond positivement à cette question en publiant une liste de solutions alternatives.
Tech companies have changed the world by building answers to obvious questions — but now the obvious, pressing questions are about them.
PwC vient de publier son Top 100 mondial
We may think we get a fair deal, offering our data as the price of sharing puppy pictures. By other metrics, we are being victimized: In the largest technology companies, the share of income going to labor is only about 5 to 15 percent, Mr. Posner and Mr. Weyl write. That’s way below Walmart’s 80 percent. Consumer data amounts to work they get free.
TRIBUNE. Nous avons passé malgré nous un pacte entre d’un côté le confort procuré et de l’autre la liberté abandonnée. L’enjeu deviendra démocratique s’il ne l’est pas déjà.
« Devenus des monopoles de plus en plus puissants, Facebook et Google sont des obstacles à l'innovation, et ils ont causé une série de problèmes dont nous commençons tout juste à prendre conscience » considère encore l’investisseur.
« Ils prétendent qu'ils ne font que diffuser des informations, mais le fait qu'ils soient des distributeurs quasi-monopolistiques en fait des services publics et les soumet à des réglementations plus strictes visant à préserver la concurrence, l'innovation et un accès universel ouvert et équitable » déclare-t-il dans son discours.
Les commentaires surviennent dans un contexte de critiques selon lesquelles la Silicon Valley devrait être tenue responsable de l'influence que la Russie a pu exercer en utilisant ses plateformes respectives lors de l'élection présidentielle américaine de 2016.
Facebook a reconnu qu'environ 126 millions d'Américains ont été exposés à du contenu promu par la Russie sur Facebook pendant l'élection. Les agents russes ont également dépensé des dizaines de milliers de dollars en publicités sur YouTube, Gmail et Google.
Soros a en outre accusé les entreprises technologiques d'être tentées de « se compromettre » pour entrer sur le marché chinois, où elles ont longtemps été interdites.
« Il pourrait y avoir une alliance entre les États autoritaires et ces grands monopoles IT riches de données qui allieraient des systèmes naissants de surveillance privés à un système déjà développé de surveillance par l'État » a prévenu Soros. « Cela pourrait bien aboutir à un réseau de contrôle totalitaire que Aldous Huxley ou George Orwell n'auraient même pas imaginé. »
L’ami Gee continue à nous dessiner les frasques des GAFAM et passe un peu de temps, cette fois-ci, à expliquer les danger des appareils connectés qui « écoutent »… une énième raison d’essayer d’organiser une autre société où, peut-être, les humains s’écouteraient entre eux au lieu de se faire volontairement espionner par des boîtes noires.