6 private links
Les consommateurs allemands ont peu goûté les méthodes de Microsoft pour faciliter (pour ne pas dire forcer la main) l’installation de Windows 10 sur les machines dotées de Windows 7 et 8.1. Rappelons que, lors du lancement du nouvel OS en juillet 2015, l’éditeur forçait son pré-téléchargement sur les PC sans le consentement des utilisateurs. Un volume de données qui occupait jusqu’à 6 Go sur le disque.
[...]
Cette affaire est loin d’être la seule à toucher Windows 10. L’OS de Redmond a été sous le feu des critiques à plusieurs reprises. Il a particulièrement été critiqué pour sa tendance à aspirer massivement des données personnelles posant nombre de questions sur le respect de la vie privée des utilisateurs. Une méthode qui a pris fin avec la livraison de Creators Update en avril dernier. Autre initiative discutable : l’affichage promotionnel de produits maison (Edge, Bing…) sur l’écran d’accueil.
Suite à la question d’une sénatrice, la ministre des Armées confirme le renouvellement du contrat Open Bar avec Microsoft et se justifie.
Décidément, Microsoft se transforme de plus en plus en geôlier pour ses utilisateurs, Onedrive ne veut plus lire d'autres stockages que les NTFS.
Microsoft says it is releasing updates for Windows XP, Windows Vista, and all other more recent unsupported and supported versions of Windows due to an “elevated risk” of attacks that are similar to the WannaCry malware.
The Financial Times reports big internet companies are paying Adblock Plus "30% of additional revenues" they would make from ads being unblocked.
Alors qu'une cyberattaque exploitant une faille de Windows touche des dizaines de milliers d'ordinateurs dans le monde, le ministère de la Défense a reconduit son contrat avec Microsoft. Bill Gates a, quant à lui, été décoré de la Légion d'honneur. Marianne s'est penché sur les liens étroits entre la firme de Redmond et l'Etat français.
L’équipe de journalistes d’Investigate Europe s’est lancée pendant trois mois dans une mission d’exploration pour établir des faits et interviewer des économistes, des responsables informatiques, des experts en sécurité et des politiciens dans douze pays européens, ainsi qu’à la Commission et au Parlement européens. Les résultats sont inquiétants.
La dépendance des États envers Microsoft :
• engendre des coûts en hausse constante et bloque le progrès technique au sein des autorités publiques ;
• contourne systématiquement les lois européennes en matière de passation des marchés et de règles de concurrence ;
• introduit une influence politique étouffante de la part de cette entreprise ;
• crée pour les systèmes informatiques étatiques, ainsi que pour les données de leurs citoyens, un grand risque technique et de sécurité politique.
It's no wonder that privacy activists are up in arms.
And it took three months to release despite Eternalblue leak
Microsoft has built such an empire inside the European public sector that attempts to challenge its dominant position are rarely successful. Nevertheless, some government agencies have managed to migrate to open source alternatives. How have they done it?
Microsoft spends more than any other tech company in the world on lobbying the EU, if you believe the figures in the non-obligatory EU Transparency Register.
A new online tool called LobbyFacts.eu allows data from the register to be automatically sorted, compared, ranked and analysed in ways not possible through the official EU site. It calculates that Microsoft is number three in the lobbying stakes, spending €4.75m per year, behind tobacco giant Philip Morris and petrol company ExxonMobil.
It’s estimated that Microsoft makes around two billion euros in Europe every year, just from its business with the public sector. In 2012 the European Commission released a report that stated that 1.1 billion euros were unnecessarily lost by the European public sector due to being locked-in in business with IT system providers.
Cette problématique d’« enfermement propriétaire » est connue de longue date au sein de l’UE. En 2013, elle a publié un guide pour inciter les gouvernements à lutter contre en se tournant vers les logiciels libres. « Les standards ouverts créent de la concurrence, favorisent l’innovation et permettent d’économiser de l’argent » précise alors la commissaire de la concurrence Neelie Kroës. À l’inverse, continuer d’investir dans des services compatibles avec Windows (comme les documents et factures en ligne) ne fait qu’entretenir cette dépendance dont il devient de fait encore plus difficile de sortir.
Microsoft a publié ses derniers résultats financiers trimestriels, arrêtés au 31 mars 2017 et portant sur son troisième trimestre fiscal. Trois mois durant lesquels la firme a réalisé un chiffre d'affaires global de 22,1 milliards de dollars et généré 4,8 milliards de bénéfice net. Les revenus comme les profits sont en hausse par rapport à la même période un an plus tôt, et l'on remarque que les produits Office et Cloud confirment leur importance dans les sommes générées par l'entreprise.
To understand why it is so difficult to defend computers from even moderately capable hackers, consider the case of the security flaw officially known as CVE-2017-0199.
Thousands of Microsoft Windows machines worldwide are infected with an NSA-developed backdoor that hackers installed by reusing leaked executable code from an outdated hacking toolkit belonging to the spy agency, multiple security researchers tell CyberScoop. The mysterious Shadow Brokers group published a package of internal NSA documents last week, containing among other things the computer code for a series of exploits, implants and other hacking tools. In the days since the leak first became public, hackers have mulled over the trove and begun reverse-engineering and recycling some of the capabilities, CyberScoop previously reported. One of these hacking tools, a backdoor implant codenamed DOUBLEPULSAR — which is used to run malicious code on an already compromised box — has already been installed on 30,000 to 50,000 hosts, according to Phobos Group founder Dan Tentler. Other researchers have also engineered different detection scripts to quickly scan the internet for infected computers. John Matherly, …