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European Union states could have lost 5.4 billion euros in tax revenues from Google and Facebook between 2013 and 2015, according to a report of the EU lawmaker responsible for a corporate tax reform that could raise online giants’ tax bill.
Facebook knows what millions of people do on their phones, even if they don’t actually use the social network, a new report claims.
The company is claimed to have been using data gathered from another firm for detailed insights on people’s app and website usage habits, such as which apps they use, how frequently they use them and even how long they use them for.
This information has also been used to shape Facebook’s product roadmap, and led to it buying WhatsApp and continuing to rip Snapchat’s Stories feature.
How to permanently delete a Facebook account. Clear instructions including a link to the official deletion page. Deactivation is not deletion!
Try these 4 advanced facebook ad strategies to target people (not cookies) and reach the exact target audience you want.
Facebook uses an internal database to track rivals, including young startups performing unusually well, people familiar with the system say. The database stems from Facebook’s 2013 acquisition of a Tel Aviv-based startup, Onavo, which had built an app that secures users’ privacy by routing their traffic through private servers. The app gives Facebook an unusually detailed look at what users collectively do on their phones, these people say.
The tool shaped Facebook’s decision to buy WhatsApp and informed its live-video strategy, they say. Facebook used Onavo to build its early-bird tool that tips it off to promising services and that helped Facebook home in on Houseparty.
This is the ultimate guide to how Facebook chooses what to show in your News Feed, and how you can get your content seen by more people. Understanding how..
Trop d'abandons en cours de route
The story of how one metric has changed the way you see the world
Facebook a déposé un brevet pour le moins curieux : le réseau social aimerait s'appuyer sur la webcam ou l'appareil photo de smartphone de ses utilisateurs pour connaître leur réaction à la lecture des publications de leur fil d'actualité. Et ainsi leur proposer un contenu personnalisé en fonction des émotions visibles sur leur visage.
Sans faire preuve de cynisme quelconque, je pense qu’il est important de souligner que nous, les utilisateurs, et eux, les plates-formes « gratuites », nous avons des objectifs singulièrement antinomiques. Les nôtres, c'est de passer plus de temps avec nos proches, d'organiser nos vacances ou encore de faire aboutir ce projet qui nous tient à cœur. Les leurs, c'est de nous faire passer un maximum de temps sur leur plate-forme, de nous faire cliquer et scroller le plus possible et de nous exposer au plus grand nombre de publicités. Ces objectifs sont fondamentalement opposés. Personne ne se dit sur son lit de mort : « J'aurais aimé passer plus de temps sur Facebook » ou « si seulement j’avais pu être un peu plus narcissique ».
"Seulement" 45 % pour le chiffre d'affaires
As the Facebook CEO travels across the US to ‘learn about people’s hopes and challenges’, the cafeteria workers at his company struggle to make ends meet
La start-up retenue, Work4, est un partenaire privilégié de Facebook, désigné dans l’appel d’offres comme « la seule solution technique sur Facebook qui propose à la fois de déposer des offres de manière illimitée et gratuite ». « Les présentes prestations ont fait l’objet d’un marché négocié sans publicité ni mise en concurrence préalable » signale Lyon Capitale. Un comble pour un marché de 340 000 euros HT reconductible deux fois.
Or ils sont nombreux, dans les colonnes de notre confrère, à s’insurger contre cette alliance avec Facebook. « Cet appel d’offres a été fait sans mise en concurrence, alors que d’autres entreprises sont capables de fournir des services de ce genre sur d’autres plateformes » dénonce l’un, quand un autre déplore une « aide » à Facebook plutôt qu’à une autre société plus française, à l’instar du Bon Coin (quoique un peu norvégien sur les bords).
Surtout, on s’interroge sur l’opportunité de financer par de l’argent public un concurrent potentiel de Pôle Emploi et d’autres entreprises locales, qui arguent pouvoir faire de même que Work4 avec d’autres plateformes. La colère gronde et il est question de saisir la justice pour favoritisme.